dc.contributor.author |
LABGAA Nadjat, FAKROUN Nadjet |
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dc.date.accessioned |
2020-10-16T09:21:28Z |
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dc.date.available |
2020-10-16T09:21:28Z |
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dc.date.issued |
2018-10-29 |
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dc.identifier.uri |
http://dspace.univ-djelfa.dz:8080/xmlui/handle/123456789/3265 |
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dc.description |
Les céréales constituent une part importante des ressources alimentaires de l’homme et de l’animal (Karakas et al., 2011) d’où leur importance économique (Bouzerzour et al., 2000 ). En Algérie, les céréales et particulièrement le blé, sont les cultures prédominantes et nécessitent une amélioration pour satisfaire une demande sans cesse croissante (Attab et Brinis, 2012. ). Selon les statistiques du Conseil International des Céréales, la production de blé en Algérie est inférieure à la consommation (Anonyme, 2016). Cette faiblesse de la production de blé en Algérie est souvent liée à des conditions environnementales défavorables qu’on peut dénommer « stress » (Chaise et al., 2005).
Les stress abiotiques (températures extrêmes, salinité, sécheresse) ont un impact négatif sur la croissance et le développement végétal (Ouellet, 1996), et l’altération de sa qualité et constituent un défi agronomique majeur (Ashraf et Foolad, 2007). La sécheresse, le pH, la salinité, le déséquilibre des nutriments (toxicité et déficience minérale) et les températures extrêmes constituent, souvent, les principales contraintes environnementales affectant la production agricole (Ashraf et Foolad, 2007).
Le stress abiotique est donc considéré comme le principal responsable des pertes associées aux cultures ; la sécheresse et la salinité sont responsables de 17 et 20% de pertes, respectivement, alors que la température élevée ou basse est responsable de 40 et 15% de pertes respectivement, 8% de pertes sont liées à d’autres facteurs (Athar et Ashraf, 2009) (figure 1) |
en_EN |
dc.description.abstract |
Le blé dur est considéré comme une culture stratégique en Algérie mais se trouve confrontée à une multitude de stress abiotiques dont le stress froid. La compréhension des mécanismes de tolérance au stress chez le blé, demeure primordiale afin de pallier aux effets néfastes du stress. Les stratégies adaptatives mises en place par cette céréale induisent des modifications dans les programmes de gènes conduisant à la synthèse de protéines dite protéines de stress et d’osmoprotecteurs. C’est pourquoi on a entrepris une étude de comportements de quatre variétés de blé dur (Triticum durum Desf) qui sont Waha et Bousselem, Marton dur et Ofonto et qu’on a exposé, au stade début tallage, à une température de -12°C ; avec endurcissement (+2°C/1h) puis -12°C et sans endurcissement (-12°C). Les résultats obtenus ont montré que le stress de froid appliqué affecte les différents paramètres étudiés chez toutes les variétés testées. Ces dernières ont montré une réponse variétale variable. Mais, elles ont adopté les mêmes stratégies pour répondre à ce stress. L’endurcissement pendant 60 minutes à 2°C confère la tolérance au gel (-12°C) aux variétés testées. Waha est la variété la plus touchée par le froid (-12°C). |
en_EN |
dc.description.sponsorship |
Blé dur (.Triticum durum Desf) , tolérance, gel, endurcissement. |
en_EN |
dc.language.iso |
fr |
en_EN |
dc.subject |
Thème : La sélection du blé dur |
en_EN |
dc.title |
La sélection du blé dur (Triticum durum Desf.) pour la tolérance aux stress abiotiques |
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dc.type |
Thesis |
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