dc.contributor.author |
AIT ABDALLAH Louiza, DJERIDI Dahbia |
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dc.date.accessioned |
2020-10-22T20:28:03Z |
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dc.date.available |
2020-10-22T20:28:03Z |
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dc.date.issued |
2019 |
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dc.identifier.uri |
http://dspace.univ-djelfa.dz:8080/xmlui/handle/123456789/3388 |
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dc.description |
Les équidés occupent une place privilégiée dans la vie et l'imaginaire des populations rurales algériennes. Ces animaux appartiennent à la classe des mammifères, à la famille des équidés et au genre Equus. Ils sont représentés en Algérie par deux espèces Equus asinus (Ane domestique) et Equus caballus (Cheval) (ALIMEN, 1955). Selon ce dernier, l’apparition des équidés en Algérie, remonte à la période préhistorique au cours du 4ème millénaire (ALIMEN, 1955). La répartition de la population équine intéresse les différentes régions de l’Algérie avec les trois quarts de l’effectif répartis essentiellement dans les hauts plateaux, à l’instar des wilayas de Tiaret, Laghouat, Djelfa, Mascara, Skikda, Saida et El Bayadh (ONDEEC, 2002). En Algérie, les ressources génétiques animales offrent une grande diversité de races quant à leur adaptation et leur aptitude de production dans leur environnement naturel. Les équins ne font pas exception à ce constat. Ils constituent à ce titre une richesse variée, avec une grande importance économique et socioculturelle (RAHAL et al., 2009). La filière équine occupe une place de choix dans l’histoire et l’économie de l’Afrique du nord. En Algérie, le cheval constitue un véritable acteur de développement durable notamment dans le domaine environnemental, en jouant un rôle particulier dans une gestion des espaces et des paysages bénéfiques au maintien et au développement de la biodiversité, mais également dans son rapport avec l’homme en contribuant par ailleurs aux activités sportives, sociales et culturelles (INRAA, 2019) |
en_EN |
dc.description.abstract |
Notre étude a été effectuée pendant la période de janvier jusqu’à mai 2019. Sur Un total de 250 échantillons de matière fécale,et un nombre de 9 d’ectoparasites issus de 50 Equidés prélevés dans plusieurs élevages de la wilaya de Djelfa (Djelfa, Hassi Bahbah, Geurnnini et Sidi Laâdjal). Notre étude est basée sur trois examens coprologique, l’examen direct par la technique de concentration formol-éther, la méthode de coproscopie qualitative avec enrichissement (flottations) et la méthode de coloration de ziehl Neelsen modifiée. Les résultats obtenus montrent un taux d’infestation global par les endoparasites de 74 % et de 20% d’ectoparasites. La prévalence de différentes espèces parasitaires isolées a été comme suit, les Strongles représentent (68,0 %), suivis par Parascaris sp. (32,0 %). Par contre Oxyurissp., Eimeria leuckarti et Monieza sp. représentent un taux d‘infestations de 2%. Parmi les ectoparasites recensé nous avons collecté 3 espèces des tiques (Hyalomma lusitanicum, Hyalomma impeltatumet Hyalomma detritum) et une espèce de diptère (Hippobosca equina |
en_EN |
dc.description.sponsorship |
endoparasites, ectoparasites,Équidés, élevages, Djelfa |
en_EN |
dc.language.iso |
fr |
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dc.subject |
Thème : Contribution à l’identification des ectoparasites et des endoparasites prélevés |
en_EN |
dc.title |
Contribution à l’identification des ectoparasites et des endoparasites prélevés sur les Equidés dans quelques élevages à Djelfa |
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dc.type |
Thesis |
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