dc.contributor.author |
Zagaar, Sohaib |
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dc.date.accessioned |
2020-10-22T20:47:11Z |
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dc.date.available |
2020-10-22T20:47:11Z |
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dc.date.issued |
2018 |
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dc.identifier.uri |
http://dspace.univ-djelfa.dz:8080/xmlui/handle/123456789/3391 |
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dc.description |
Depuis le milieu du 20ème siècle, les préoccupations environnementales, en particulier celles liées au réchauffement climatique et à l’épuisement des ressources non renouvelables, accentuent la remise en question des procédés de construction standard, d’autant plus qu’il est aujourd’hui reconnu que le bâtiment est le plus grand consommateur d’énergie primaire parmi tous les secteurs économiques. Les effets du changement climatique concernent la répartition de la ressource en eau, la vie des écosystèmes, les rendements de la production agricole et la santé humaine. La gravité et l’étendue des conséquences du changement climatique touchent tous les continents et toutes les sociétés et en particulier les plus vulnérables. Depuis la naissance de l’humanité, l’homme a toujours essayé de se protéger des aléas du climat (surchauffe d’été, les vents, les pluies…etc.) afin de créer des conditions favorables pour sa vie. En l’absence des sources d’énergie fossile, il était obligé de construire un habitat qui offre le confort durant toute l’année. « Le climat a toujours joué un rôle déterminant dans la forme bâtie » (Liébard, A. et de Herde, A. 2005). C’est le cas de l’habitat vernaculaire qui peut être considéré comme une source d’inspiration aux architectes contemporains en matière de respect de milieu naturel et du confort offert aux utilisateurs |
en_EN |
dc.description.abstract |
Alors que plus des deux tiers de la consommation énergétique s’effectue en milieu urbain, et que les deux secteurs les plus énergivores sont le bâtiment et les transports, les villes apparaissent comme le lieu privilégié de la mise en œuvre de la transition énergétique qui est l’un des éléments d’un développement plus durable ou soutenable. En Algérie, désormais plus de la moitié de la population vit dans les zones urbaines, et le secteur résidentiel est à l’origine de 35 % de la consommation d’énergie finale (APRUE, 2009), valeur qui devrait augmenter exponentiellement dans les prochaines années étant donné les perspectives de développement du parc logement. C’est dans ce contexte que l’État algérien a lancé une opération pilote, dénommée « programme ECO-BAT » qui prévoit la construction de 600 logements de haute performance énergétique –HPE- distribués sur 11 wilayas, ciblant l’ensemble des zones climatiques du pays (Nord, Hauts-plateaux et Sud). La définition d’une stratégie d’aménagement incluant la conception et la réalisation de logements plus efficients en termes énergétiques constitue un enjeu majeur de la transition énergétique à l’échelle urbaine permettant la maitrise de la consommation énergétique de ce secteur clé tout en améliorant le confort thermique et le bien-être des habitants. Dans cette optique, l’objectif de ce travail est de tenter d’apporter un éclairage sur la mise en œuvre du programme ECO-BAT et son impact sur la transition énergétique dans les conditions particulières du milieu steppique à travers l’étude du cas des 80 logements HPE à Djelfa. |
en_EN |
dc.description.sponsorship |
Programme ECO-BAT, Transition énergétique, Bâtiments à haute performance énergétique -HPE-, habitat en milieu steppique |
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dc.language.iso |
fr |
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dc.subject |
Thème : Le programme Eco-Bat, un vecteur pour la transition écologique ? |
en_EN |
dc.title |
Le programme Eco-Bat, un vecteur pour la transition écologique ? Cas des 80 logements HPE a Djelfa |
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dc.type |
Thesis |
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