dc.contributor.author |
KORYEB Sabrine, RAOUANE Linda |
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dc.date.accessioned |
2022-12-20T08:54:07Z |
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dc.date.available |
2022-12-20T08:54:07Z |
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dc.date.issued |
2021 |
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dc.identifier.uri |
http://dspace.univ-djelfa.dz:8080/xmlui/handle/123456789/4623 |
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dc.description |
Le paludisme est une endémie parasitaire fréquente dans le monde qui constitue un problème majeur de santé publique aussi bien pour les pays d’endémie, que pour les pays de zones non endémiques. En Algérie cette parasitose est très répandue dans les régions sahariennes où de nombreux cas autochtones sont encore observés, en plus des cas importés. Plusieurs foyers autochtones restent actifs : le foyer localisé à Tamanrasset, à Adrar et le foyer d’Ouargla. Le présent travail rassemble quelques études réalisées des enquêtes dans différentes localités a savoir Tamanrasset et Adrar (1984-1985) Ouargla (1998- 2007) et Tizi Ouzou (2008-2018).
Les données recueillies de ces enquêtes montrent que cette fièvre palustre est très concentrée dans les régions sahariennes de Tamanrasset et d’Adrar où les valeurs enregistrées sont très élevées, plus au Nord, à Ouargla commencent à régresser arrivant au Nord à Tizi Ouzou où le nombre des cas touchés par le Malaria est plus faible. Ceci indique à la vigilance des services de santé dans les régions nordiques. Par contre, dans les zones sahariennes qui sont le premier accès palustre, il est clair que les mesures sont insuffisantes et les moyens de lutte antipaludique ne sont pas efficaces.
Pour ce qui est de la répartition des malades en fonction du sexe une légère prédominance de sexe féminin est notée dans les régions de Tamanrasset et Adrar. Par ailleurs à Tizi Ouzou, cette parasitose est notée plus chez les hommes que chez les femmes. Ceci est peut être expliquée la nature des activités de ces populations dominé par la présence masculine ainsi que par le comportement masculin qui est différent de celui chez la femme en termes de respect des mesures prophylactiques
Pour ce qui est de la tranche d’âge en Tizi Ouzou montré l’adulte jeune (21-30ans) a été concerné par cette parasitose dans 50% des cas et pour l’âge moyen était de 34 ans. Par contre dans les régions Tamanrasset et Adrar a une prédominance de cas dans la tranche d’âge supérieure 50 ans à 48,3 %.
Quand aux agents pathogènes, les 3 espèces, Plasmodium falciparum et Plasmodium vivax et Plasmodium malariae sont notées dans régions d’études avec des pourcentages variant d’une région à l’autre.
Néanmoins, afin de lutter contre ce redoutable Plasmodium, il est recommandé d’éviter les piqûres de moustiques en particulier A.funestus et A. gambiae, en portant des vêtements longs et en appliquant des répulsifs, sur la peau (DEET : diméthyles-3-methylbenzamide), sur les moustiquaires, et dans les habitations. |
en_EN |
dc.description.abstract |
Le présent travail rassemble quelques études réalisées des enquêtes en Algérie. Les données recueillies de ces enquêtes montrent que le taux des cas paludéens est 14,6 % cas à (n = 240) Tamanrasset et 16,3 % cas (n=240) à Adrar. À Ouargla le pourcentage enregistré est 43,7 % pour 28 cas. Dans la région Tizi Ouzou un taux de 15,4 % de nombre cas (n = 4) est noté. En outre, une légère prédominance de sexe féminin (53,4 %) et une prédominance masculine à 56,9 % à Tamanrasset et Adrar. Par ailleurs dans la région Tizi Ouzou le sexe masculin domine avec un taux de 80,77%. Plasmodium falciparum 84,9% est la plus fréquente en particulier dans les régions sahariennes |
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dc.language.iso |
fr |
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dc.publisher |
Université Ziane Achour/Faculté des Sciences de la Nature et de la Vie |
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dc.subject |
Paludisme, Plasmodium falciparum, Enquêtes, santé publique, Algérie. |
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dc.title |
Le paludisme en Algérie ; une revue bibliographique |
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dc.title.alternative |
Parasitologie |
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dc.type |
Thesis |
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