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L'industrie sucrière est devenue l'une des industries les plus compétitives au monde. Dans ce
contexte, tout doit être fait pour que nous ne dépendions pas de lui sur les marchés étrangers
pour devenir l'un des pays producteurs de sucre afin de satisfaire la consommation intérieure
et la dépendance limitée vis-à-vis des marchés étrangers.
La betterave sucrière, en tant qu’espèce cultivée, est apparue au début du XIXe siècle : le
blocus maritime imposé à l’Europe par l’Angleterre au moment des guerres napoléoniennes
interdisait tout approvisionnement en sucre de canne. Napoléon 1er décida de lancer un
programme de plantation important et créa des écoles de sucrerie dès 1811.
En Algérie, le développement de l'industrie sucrière est survenu suite à l’échec de la
production de sucre à partir de la betterave sucrière et a été possible grâce à la politique de
l’Etat visant l’encouragement de l’investissement privé national. A long terme, les entreprises
issues de cet investissement ne peuvent faire face à la concurrence internationale, une
concurrence qui est de plus en plus contraignante en raison du pouvoir grandissant des
grandes firmes multinationales du sucre.
Dût la consommation massive de cette substance, chose qui a été remarquer durant ces
dernière décennie est l’augmentation exponentiel de consommation du sucre, ce qui a inciter
plusieurs industriels a s’investir dans ce domaine, bien évidement ces investissement
permettre de couvrir la consommation totale. En contre partie, l’importation de sucre roux
(matière première de la réalisation de sucre), impose des sommes colossales à l’état Algérien,
ce qui implique l’inflammation de cette substance dans le marché national ; c’est pour cela
notre objectif principal à réaliser ce projet sur le territoire Algérienne afin de réduire
l’importation de sucre. En plus de baisser la dépendance vis-à-vis du marché étranger et la
modernisation de l’agriculture au niveau des périmètres irrigués en plus de répondre à la
consommation nationale et la création des emplois.
Dans ce travail nous envisageons de proposer une étude de faisabilité de culture de la
betterave sucrière sur le territoire Algérien. Nous avons opté pour ce sujet vu la
consommation de sucre en niveau mondiale et particulièrement en niveau national. D’parés
les statistiques récoltées nous avons constaté que un des aliments les plus consommer par les
individus Algériens est le sucre, sachant que cette aliment est réalisé en Algérie a base de
sucre roux importé ; Et qui est présenté dans la plupart des aliments que soit sucrés
(confitures, pâtisseries et boissons ...etc.) ou salés (sauce-tomate, légumes en conserves, les
pates par exemple patte à pizza et le pain ...etc.).
Nous avons choisi la betterave sucrière car nous avons vu que cette plante est adaptée au
climat méditerranéen, notamment au climat Algérien.
Le projet de la transformation de la betterave sucrière est réalisé sur la base des informations,
des données et des statistiques collectées d’après plusieurs sources.
Le but est de formuler une meilleure conception malgré que nous ayons rencontré beaucoup
d'énormes difficultés telles que le manque d'informations sur les machines de la
transformation et le temps limitée pour accomplir notre objectif.
Dans un premier temps, nous avons montré la richesse nutritionnelle des betteraves. Culture
de la canne à sucre, puis nous avons vu les conditions particulières pour sa culture et sa
récolte. Nous avons abordé plusieurs points concernant la culture de la betterave sucrière : la
connaissance, sa description et les exigences de sa culture, et le second est l'étude de la zone
choisie pour la culture. Nous avons également entamé les étapes de conversion de la betterave
sucrière dès la récolte, ensuite nous avons entamé les étapes de transformations de la betterave
sucrière depuis la récolte jusqu'à la phase du conditionnement.
Comme perspective, nous souhaitons prolonger notre travail, en nous focalisant plus
particulièrement deux parties :
Dans la première qui concerne la culture de la betterave, plusieurs points peuvent être abordé :
- le choix de la topographie de la zone de la cultive afin de mieux valoriser le rendement sur le
territoire Algérien.
- la prise de considération de la dégradation de la betterave par rapport au climat Algérien et
en équipement existant et en zone d’implantation.
Dans la seconde partie il sera très intéressant d’étudier la gestion des indisponibilités pour les
fournisseurs des betteraves sucrières en cas de ne pas livré la betterave en sucrerie juste à
temps.
Une autre piste peut être exploitée dans ce travail qui concerne le processus de la
transformation des dérivées de la betterave (Pulpe, Mélasse….). |
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