dc.contributor.author |
Boumidouna Abdelkrim, Kouar Abdelouahab |
|
dc.date.accessioned |
2023-02-20T09:02:08Z |
|
dc.date.available |
2023-02-20T09:02:08Z |
|
dc.date.issued |
2019 |
|
dc.identifier.uri |
http://dspace.univ-djelfa.dz:8080/xmlui/handle/123456789/4840 |
|
dc.description |
Les plantes aromatiques et médicinales sont la source de la majorité des antioxydants naturels et elles restent encore sous exploitées dans le domaine médicale. Dans l’industrie pharmaceutique, sachant que les antioxydants sembleraient de manière significative à la prévention des maladies, le développement de nouveaux médicaments à base d’antioxydants d’origine naturelle doit être à l’ordre de jour. Les tests phytochimiques réalisés par les réactions de caractérisation ont permis de mettre en évidence des flavonoïdes, des tanins, des stérols et triterpènes, anthocyanes dans les trois parties de la plante (tiges, feuilles et fruits). - Les extractions des différents composés phénoliques les plus abondants dans notre plante nous a permis de calculer le rendement de chaque extrait notamment les extraits bruts méthanoliques, les flavonoïdes (fraction acétate d’éthyle et 1-butanol), les tanins et les anthocyanes, dont le rendement le plus remarquable est celui des fruits (28,83 %). Concernant l’activité antioxydant, nous avons étudié le pouvoir antioxydant de tous les extraits des différentes parties de la plante par la capacité de piégeage de radical DPPH● et de réduction du fer, afin de localiser la fraction qui représente l’activité la plus élevée. Nous avons constaté pour l’activité antioxydant par la méthode FRAP, que tous les extraits de la plante étudiée ont la capacité de réduire le fer qui augmente en fonction de la concentration. Comme nous avons remarqué que l’extrait des anthocyanes des fruits et les flavonoïdes de la fraction 1-butanol et acétate d’éthyle des feuilles présentent une capacité intéressante pour réduire le fer par rapport aux autres extraits, mais cette capacité est faible à celle de l’acide ascorbique. Cependant, pour le piégeage du radical libre DPPH● et en comparant les IC50des différents extraits testés des trois parties de Myrtus communis L par rapport à celle de l’acide ascorbique, nous avons remarqué une activité antioxydant très importante de la fraction acétate d’éthyle des feuilles (IC50 = 0,05 mg/ml) qui est supérieur à la capacité du piégeage du radical DPPH● de l’acide ascorbique (IC50 = 0,2 mg/ml). à piéger les radicaux libres. L’évaluation de l’activité antibactérienne montre que notre extrait a une activité antimicrobienne variable entre les différentes souches microbiennes testées.
L’inhibition de la croissance des souches (Enterococcus cloaceae, Enterococcus faecalis
et Escherichia coli) de l’extrait décocté est faible d'après notre étude, Peut-être la plante elle a
une activité antibactérienne sur d’autres souches.
Selon les résultats obtenus dans cette étude, nous pouvons dire que les extraits de
Myrtus communis L ont une bonne activité antioxydant et une capacité de piégeage de
radicaux libres intéressante en particulier la fraction acétate d’éthyle des feuilles et bonne
activité antibactérienne.
Cette analyse trouve une importante application dans l’industrie pharmaceutique comme
elle peut trouver aussi une application dans l’industrie alimentaire |
en_EN |
dc.description.abstract |
Une grande partie de l’intérêt des recherches actuelles porte sur l’étude de molécules
antioxydants d’origine naturelle.
Ce travail consiste a l’étude de phytochimique et de l’Activité Anti bactérienne de "Myrtus
Communis L" de la région de collo. Les résultats qu’on a obtenus de l’étude
phytochimique du myrte (extrait décocté) montrent qu’il est très faible en Amidon, alcaloïde,
Coumarines, Quinones et riche en Flavonoïde, Tanins Catéchique et Tanins galique, Saponines, Stérols
et tri terpènes.
L’activité antioxydant des différents extraits a été évaluée par deux méthodes ; la
réduction du fer et le piégeage du radical libre DPPH. La fraction acétate d’éthyle des feuilles a
présenté une activité antioxydant intéressante (IC50 = 0.05 mg/ml) et qui est supérieur à la capacité du
piégeage du radical DPPH· de l’acide ascorbique dont l’IC50 = 0.2 mg/ml.
les résultats qu’on a obtenus de l’activité antibactérienne du myrte montrent qu’il existe un effet de
l’extrait décocté sur trois souches Staphylococcus coagulase positive, Staphylococcus aureus et
Escherichia coli ATCC et pour les trois autres souches Enterococcus cloaceae, Enterococcus Faecalis
et Escherichia coli aucun effet n’a été fait par l’extrait sur eux, Cette variation peut être due aux
différents paramètres géographiques, climatiques |
en_EN |
dc.language.iso |
fr |
en_EN |
dc.publisher |
Université Ziane Achour/Faculté des Sciences de la Nature et de la Vie |
en_EN |
dc.subject |
: Myrtus communis L., étude phytochimique, flavonoïdes, tanins, Saponines, Stérols et tri terpènes, antioxydant, DPPH |
en_EN |
dc.title |
Contribution à l’étude phytochimique (par chromatographie à couche mince CCM), des activités antibactériennes et des activités antioxydantes de l’extrait des feuilles de myrte (Myrtus Cummnis L.) de la région du nord constantinoise. |
en_EN |
dc.title.alternative |
Agroalimentaire et Contrôle de Qualité |
en_EN |
dc.type |
Thesis |
en_EN |