DEPOT INSTITUTIONNEL UNIV DJELFA

Evaluation de la performance D’un pont à poutres par la procédure statique non-linéaire « Push over »

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dc.contributor.author LEBBAZ, khalil
dc.date.accessioned 2019-06-23T10:07:19Z
dc.date.available 2019-06-23T10:07:19Z
dc.date.issued 2013
dc.identifier.uri http://dspace.univ-djelfa.dz:8080/xmlui/handle/123456789/1489
dc.description.abstract INTRODUCTION GENERALE La réglementation parasismique, comme toute réglementation n'a pas un caractère définitif ni scientifiquement exact mais représente la réunion d'un consensus technique traduisant l'état des connaissances scientifiques et d'un consensus sociétal traduisant les limites de la protection parasismique définies comme acceptables. La réglementation est donc une convention à un moment donné de l'évolution technique et sociétale. Elle énonce l'obligation de construire parasismique. Elle peut être formulée en termes normatifs ou en termes exigentiels. En effet deux injonctions peuvent être adressées à un maître d'ouvrage: l'obligation d'appliquer les règles parasismiques (caractère normatif) ou la démonstration du caractère parasismique de sa construction (caractère exigentiel). - Le cadre réglementaire normatif comporte un zonage sismique conventionnel, une classification des ouvrages, une démarche conventionnelle de protection liée aux deux éléments précités, des prescriptions techniques conventionnelles à l'usage de l'ingénieur et enfin une obligation de les appliquer. L'ouvrage qui s'inscrit dans ce cadre est réputé parasismique. C'est le résultat d'une convention à priori. - Le cadre réglementaire exigentiel comporte un outil permettant d'évaluer l'aléa sismique à prendre en compte, une analyse de sûreté propre à l'ouvrage, des prescriptions techniques, une instance habilitée à se prononcer sur le caractère parasismique de l'ouvrage, l'obligation de satisfaire cette instance en appliquant les prescriptions. L'ouvrage sera parasismique si l'instance habilitée accepte la preuve apportée par le maître d'ouvrage. C'est le résultat d'une convention ad hoc. - L’EVENEMENT « Performance Based Design »EN INGENIERIE SISMIQUE : La plupart des règlements modernes en ingénierie sismique a fait apparaître le besoin de définir l’état d’une structure lors de sa réponse à une excitation sismique par un niveau de performance dont la signification est proche des états limites ultime ou de service d’utilisation largement répandue en Algérie comme à l’étranger. Mais la contamination de l’exigence sécuritaire au bâti existant a nécessité Introduction générale 2 entre autre la définition de niveaux de performance dont la terminologie permet plus clairement de différencier la multitude de réponses possibles d’une structure à laquelle on attribue une fonction ou encore les différents états possibles d’une structure du point de vue fonctionnel que la simple distinction entre un état limite de service et un état limite ultime. Cette évolution de la définition d’un état limite vers celle d’un niveau de performance a traduit le besoin des ingénieurs de mieux cerner l’état d’une structure lors de sa réponse globale à un séisme et d’autre part la nécessité de définir des degrés d’endommagements progressifs reliés à la fonction d’une installation utiles notamment dans une démarche de diagnostique sismique. Le FEMA 356 , destiné à la réhabilitation sismique des structures existantes définit par exemple quatre niveaux de performance correspondant à l’endommagement attendu après un séisme : - Operational : Les fonctions de la structure restent opérationnelles ; les dommages sont insignifiants. - Immediate Occupency : La structure reste sûr et habitable ; les réparations sont mineures. - Life Safety : La structure reste stable avec une marge de sécurité confortable ; les dommages sont non structuraux et restent localisés - Collapse Prevention : La structure ne s’effondre pas ; les dommages ne sont pas limités. Pour répondre à l’exigence sécuritaire susmentionnée, ces niveaux de performance sont mis en perspective avec un niveau d’aléa. Le choix du niveau de performance acceptable associé à celui d’un aléa, qui prend en compte des facteurs politiques, sociaux et économiques, peut s’appliquer aussi bien pour la conception d’une nouvelle structure que pour le diagnostic d’une installation existante et constitue le fondement même d’une politique de prévention sismique. Introduction générale 3 Ce changement conceptuel s’est accompagné de changements fondamentaux traduits cette fois par l’évolution récente des méthodes de calculs en ingénierie sismique. - PROBLEMATIQUE DE LA THESE : Ces nouvelles approches qui impliquent la définition d’un niveau de performance associé à un niveau de sollicitation sismique reposent d’une part sur la capacité de ces approches à décrire l’endommagement correspondant au niveau de performance visé et d’autre part sur la pertinence de la représentation du mouvement sismique auquel peut être associé le niveau de l’aléa sismique. Différentes représentations de ce signal ont été développées par les chercheurs et les ingénieurs dans le but d’appréhender la nocivité d’un séisme en calculant des indicateurs de nocivité associés à ces représentations. de ces indicateurs à prédire le dommage. Il propose de déterminer un ordre de grandeur de la dispersion du dommage que subit un ouvrage d’art lors d’un séisme caractérisé par ses indicateurs de nocivité et propose de réduire cette dispersion en améliorant la pertinence de ces indicateurs et des corrélations nocivité-dommage. en_EN
dc.language.iso fr en_EN
dc.title Evaluation de la performance D’un pont à poutres par la procédure statique non-linéaire « Push over » en_EN
dc.type Thesis en_EN


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