DEPOT INSTITUTIONNEL UNIV DJELFA

Contribution à l'étude bactériologique sur les mammites cliniques chez les petits ruminants dans la zone de Hassi Bahbeh et Oulede Abiedallah

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dc.contributor.author KHAINACHE Emabarka Imene, ZEKAIK Khaoula
dc.date.accessioned 2020-10-14T09:20:58Z
dc.date.available 2020-10-14T09:20:58Z
dc.date.issued 2019
dc.identifier.uri http://dspace.univ-djelfa.dz:8080/xmlui/handle/123456789/3240
dc.description En Algérie, le troupeau du mouton prédomine et représente 82% du bétail total, et on estime leur nombre total de 25194105 millions en 2012 (selon les statistiques de ministère de l’agriculture), avec inégal distribution dans les différentes régions et dans de diverses conditions climatiques et environnementales. La glande mammaire fait depuis longtemps l’objet de nombreuses études fondamentales et appliquées chez les différentes espèces surtout les brebis laitières en Algérie. C’est l’organe central de la fonction de lactation dont le rôle est primordial dans le processus reproduction-production (HOUDEBINE, 2007). Elle est caractérisée par un système immunitaire très développé, l’affection de cet organe par différent facteurs microbiologiques et épidémiologiques peut provoquer une mammite. La mammite est l'une des pathologies les plus importants en l'élevage laitier, elle est responsable des pertes économique quantitatives très important, cette affection est souvent négligée chez les petits ruminants et le traitement se fait en général sans analyse bactériologique (KADJA et al., 2013). . Les pertes sont marquées par une diminution du rendement du lait, l’altération de sa qualité, l’augmentation du taux de réforme et le cout de traitement (JONES et WATKINS, 2000). Parmi, les répercussions de cette affection, on note aussi, un retard de croissance chez les agneaux, et augmentation de leur mortalité (WATSON et BUSWELL, 1984). On distingue les mammites cliniques, avec une modification visible de la composition du lait et une inflammation de la mamelle, et les mammites sub-cliniques détectables seulement par la mise en évidence d’une élévation du taux cellulaire du lait. la mammite clinique ovine a été la plupart du temps attribuée à une infection intramammaire (IMI) par le Staphylococcus-aureus (ARSENAULT et al., 2008) et à un moindre degré aux germes pathogènes environnementaux. En toute rigueur, l’identification et le contrôle de la sensibilité de la bactérie devraient être effectués avant tout traitement. En fait, dans la plupart des cas l’impossibilité d’attendre le résultat de l’examen bactériologique avant de mettre en œuvre le traitement, fait qu’un choix de première intention est effectué sur la base de l’expérience et des données épidémiologiques les plus récentes. La recherche et l’identification de la flore spécifique des mammites cliniques sont donc d’un intérêt déterminant pour la définition et l'adaptation des programmes de maitrise des mammites et pour une meilleure connaissance de l’épidémiologie de ces infections. en_EN
dc.description.abstract L'objectif de cette étude était d’estimer la fréquence et l’importance des différentes espèces bactériennes responsables des mammites cliniques dans la région de Djelfa (Oulede Abiedallah, Hassi bahbeh) et de mettre en évidence des faits épidémiologiques et cliniques. Nous avons tenté d’établir deux approches, une approche du terrain, à travers une enquête sous forme d’un questionnaire et une approche du laboratoire à l’aide d’un diagnostic bactériologique chez des brebis atteintes de mammites cliniques. Une bactériologie de routine a été effectuée sur 30 échantillons du lait de brebis atteintes de mammites cliniques, les bactéries isolées comprenaient du ; SCP (38,6 %), SCN (22,7 %), E. coli (18,2%), Salmonella spp. (15.9%) et les Proteus vulgaris (4,5 %). 10 % des échantillons étaient contaminés. La majorité des cas de mammite clinique se produisent en début de lactation (1-4 semaines) et le risque s'accroit avec le nombre de lactations. L’étude de la sensibilité de 12 souches de staphylocoques aux antibiotique a montré qu’elles présentaient d’une part, une résistance élevé vis-à-vis la Pénicilline G (83,3%). Et ’autre part, une sensibilité totale à la gentamicine en_EN
dc.description.sponsorship mammites cliniques, brebis, lait, Bactériologie, Antibiorésistance en_EN
dc.language.iso fr en_EN
dc.publisher Université Ziane Achour -Djelfa :Faculté des Sciences de la Nature et de la Vie en_EN
dc.relation.ispartofseries Projet de fin d’étude , Diplôme de Master;
dc.subject Thème: Contribution à l'étude bactériologique sur les mammites cliniques en_EN
dc.title Contribution à l'étude bactériologique sur les mammites cliniques chez les petits ruminants dans la zone de Hassi Bahbeh et Oulede Abiedallah en_EN
dc.type Thesis en_EN


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