المستودع الرقمي في جامعة الجلفة

Contribution à l'étude de la myrmécofaune de la flore dans le site de l’université de Djelfa

عرض سجل المادة البسيط

dc.contributor.author BEN CHEIKH Zineb, BEN HABIB Fadila
dc.date.accessioned 2020-10-21T21:08:46Z
dc.date.available 2020-10-21T21:08:46Z
dc.date.issued 2019
dc.identifier.uri http://dspace.univ-djelfa.dz:8080/xmlui/handle/123456789/3383
dc.description Les fourmis forment l'un des groupes majeurs d'êtres vivants dans de nombreux habitats, pouvant représenter jusqu'à 15% de la totalité de la biomasse animale, voire 94% des individus et 50% de la biomasse en arthropodes dans la canopée des forêts tropicales (HÖLLDOBLER & WILSON, 1990). De plus, les fourmis sont parmi les insectes les plus communs et se rencontrent dans la majorité des écosystèmes terrestres (PASSERA & ARON, 2005). Avec plus de 12 500 espèces décrites à ce jour (AGOSTI & JOHNSON, 2005), ce groupe d’insectes présente un grand intérêt comme indicateur de la biodiversité (ALONSO, 2000). Selon BERNARD (1968), les colonies de fourmis sont caractérisées par une organisation sociale complexe et une capacité de communication qui frôle l’intelligence. Vue la spécificité de leur anatomie et de leur comportement, les fourmis ont occupé des niches écologiques très variées à travers l’environnement terrestre. Elles sont rencontrées sur toutes les latitudes, dans tous les climats et occupent même les milieux les plus hostiles à la vie animales telles les hautes montagnes. Les fourmis sont des insectes sociaux omniprésents. Cette omniprésence s’accompagne d’un impact écologique majeur, illustré par exemple par leur rôle dans l’aération et le brassage des sols, l’effet qu’elles exercent sur les populations d’autres insectes via la prédation, ou encore les nombreuses interactions qu’elles entretiennent avec les plantes (PASSERA et ARON 2005). BERNARD (1968) note que de nombreuses espèces de fourmis sont utiles et jouent un rôle important dans le maintien de certain équilibre biologique en tant que prédateurs ou parasites. en_EN
dc.description.abstract Dans une contribution à l'étude de la myrmécofaune de la flore de l'université de la région de Djelfa, un inventaire de Formicidés, leurs nidifications et leurs relations avec les plantes est effectué. La période de cette étude est de cinq mois (du mois de février au mois de juin). Les différentes espèces de fourmis sont récoltées par la méthode de pots Barber et la capture directe à la main. Pour les espèces végétales, elles sont obtenues par la méthode de transect en considérant la présence de fourmilières. Les résultats retrouvés ont montré la présence de 10 espèces réparties sur 3 sous familles. Pour les variations mensuelles des espèces de Formicidae, la richesse totale la plus élevée est notée au mois de Juin. L’abondance relative des espèces montre la dominance de l’espèce de Tapinoma nigerrimum avec un taux de 96, 9%. Tetramorium biskrensis est présenté par un seul individu (0,0013 %). En ce qui concerne les plantes, les rosacées sont les plus abritées aux fourmis. en_EN
dc.description.sponsorship Mots clés: Université de Djelfa, Formicidae; pots Barber, capture à la main, Tapinoma nigerrimum, fourmilières et les Rosacées en_EN
dc.language.iso fr en_EN
dc.subject Thème : Contribution à l'étude de la myrmécofaune en_EN
dc.title Contribution à l'étude de la myrmécofaune de la flore dans le site de l’université de Djelfa en_EN
dc.type Thesis en_EN


الملفات في هذه المادة

هذه المادة تظهر في الحاويات التالية

عرض سجل المادة البسيط

بحث دي سبيس


بحث متقدم

استعرض

حسابي