DEPOT INSTITUTIONNEL UNIV DJELFA

Biodécoloration des colorants à partir de bactéries halophiles

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dc.contributor.author BEN HABIB Dalila, BOUCHRA Hanane
dc.date.accessioned 2020-10-24T09:13:36Z
dc.date.available 2020-10-24T09:13:36Z
dc.date.issued 2018-11-25
dc.identifier.uri http://dspace.univ-djelfa.dz:8080/xmlui/handle/123456789/3396
dc.description L’eau est une ressource capitale, vitale et très importantes sur notre planète, pour les êtres humains, la faune, la flore et pour l’équilibre écologique. La pollution de l’eau qui touche tous écosystèmes est le résultat du rejet des eaux usées sans traitement ou avec un niveau de traitement insuffisant : cela provoque une dégradation de l’écosystème (BARKA., 2008). La contamination des eaux par des polluants d’origines diverses est un problème d’actualité (COLOMBANI-BOSINCO., 1997). Dans diverses industries, les eaux résiduaires sont l’une des plus importantes sources de pollution des eaux superficielles et des nappes souterraines, surtout envers les terres agricoles (qualité de la récolte) et sur la faune et la flore (ZOUGHUIR et al. 1998) ; dégradant ainsi toute la chaine trophique... Les rejets des activités industrielles et domestiques constituent d’énormes nuisances pour la santé humaine et l’environnement. Chaque année et d’après notre ministère de l’environnement plus de 100 million de m3 d’eaux usées contenant des colorants ont été rejetées dans l’environnement en Algérie (BENGUELLA., 2009). En fait, les différents colorants utilisés causent de sérieux problèmes en raison de leur stabilité et de leur faible biodégradabilité. Ainsi, il est nécessaire de traiter ces rejets avant qu’ils soient déversés dans le réseau d’assainissement (ELKASSIMI et al. 1998). Il existe diverses approches de traitement des effluents liquides chargés en colorants, parmi lesquelles on peut citer : les techniques physiques, chimiques, les techniques membranaires comme l’ultrafiltration et l’osmose inverse, l’adsorption sur charbon actif et lestraitements biologiques en_EN
dc.description.abstract Cette présente étude est consacrée à la réalisation d’essais de biodégradation de deux colorants cationiques (le bleu de méthylène et le rouge neutre) par deux souches halophiles isolées au niveau des sites de Zahrez el Gharbi et Rocher de sel de Djelfa et d’autres essais sur l’élimination ou la biosorption du rouge neutre par ces même souches après lyophilisation en mode batch. Nous avons basé notre étude sur deux paramètres expérimentaux (la masse de l’adsorbant et la concentration du colorant), Le suivi de la cinétique de croissance a permet de calculer le pourcentage d’élimination moyen du rouge neutre est de 61.9% et de 52,68% respectivement pour la souche N18 et Y00 et le pourcentage d’élimination moyen de bleu de méthylène est 77.34 % et de 76% respectivement pour la souche N18 et Y00. Les résultats des études de la cinétique et de l’équilibre de biosorption montrent un temps d’équilibre de compris entre 10 et 20 min et le pourcentage d’élimination du rouge neutre augmente jusqu’à 96,2% . La cinétique de l’adsorption du rouge neutre suit le modèle du pseudo seconde ordre, et pour l’isotherme d’adsorption Le modèle de Freundlich et de Langmuir. en_EN
dc.description.sponsorship Halophiles, Bleu de méthyléne, Rouge neutre, Biodégradation, Biosorption en_EN
dc.language.iso fr en_EN
dc.subject Thème : Biodécoloration des colorants en_EN
dc.title Biodécoloration des colorants à partir de bactéries halophiles en_EN
dc.type Thesis en_EN


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