Synthèse des travaux de recherches sur les principales Maladies parasitaires des ovins

BENYAHIA Ahlam Oumelkheir, HADJI Imene

Synthèse des travaux de recherches sur les principales Maladies parasitaires des ovins

BENYAHIA Ahlam Oumelkheir, HADJI Imene

URI: http://dspace.univ-djelfa.dz:8080/xmlui/handle/123456789/4386

Date: 2022

Abstract:

Les ovins sont des mammifères exclusivement herbivores, L'Algérie secaractérise par l'abondance du cheptel et la diversité de ses espèces, comme le Rumbi et l'AwladJalal Comme les autres animaux. Les brebis sont infectées par des maladies infectieuses, bactériennes, virales et parasitaires (endoparasites et ectoparasites) qui sont éliminées grâce au traitement et au suivi par les vétérinaires Des mesures biosécurité doivent être prises pour prévenir ces maladies et préserverce cheptel, caril est considéré comme un erichessenaturelle. Grâceàellen ou sobte non sdulait, de la viande, de la laine et du cuir

Description:

À travers à notre synthèse précédente, Les ovins se nourrissent essentiellement de végétaux, Chaque jour, l’animal doit consommer la quantité d’aliments nécessaire pour couvrir ses besoins : cette quantité est appelée la ration. Elle varie suivant l’âge de l’animal, le type de production principal (viande ou lait), la saison et la région d’élevage Les moutons sont généralement considérés comme moins touchés par les maladies s'ils reçoivent les soins nécessaires tout au long de l'année, mais le problème réside dans le fait que les propriétaires de moutons suivent rarement la méthode des vaccinations périodiques contre les maladies endémiques, par crainte que ces les vaccinations auront une incidence sur la gestation ou la lactation. Par conséquent, elles ne demandent pas ces vaccinations sauf lorsque des maladies apparaissent dans leur troupeau, ce qui réduit la réponse des brebis au traitement d'une part, et la mort d'un grand nombre d'entre elles d'autre part. Les ovins sont des mammifères ruminants qui ont besoin d’une alimentation quotidienne, sont une excellente source de nourriture et de nutrition pour l’homme. Toutefois, ils sont sensibles aux maladies parasitaires transmises. L’Algérie se caractérise par l'abondance du cheptel et la diversité de ses espèces, l'élevage ovin occupe une place importante dans notre pays, il est une source de production animale de viande et de laine et de lait et contribue à diverses filières. Les moutons sont exposés à de nombreuses maladies infectieuses et à propagation rapide, et il existe des maladies virales, bactériennes et parasitaires qui causent de grandes pertes. Par conséquent, le contrôle des maladies est un facteur essentiel pour la préservation du bétail. Les maladies des petits ruminants sont divisées selon la cause. Les parasites internes tels que (Eimeria, Giardia, Fasciola, Moniezia, Nematodirus spp, ..) qui infectent les moutons sont considérés comme un problème, car ils sont répandus et la plupart des moutons sont infectés par un ou plusieurs types d'entre eux, ce qui entraîne une réduction de la production et une augmentation de la mortalité. Parasites externes, Pour éviter leur apparition dans le troupeau et les prévenir, les moutons doivent être immergés au moins deux fois par an, en utilisant du matériel désinfectant disponible chez le vétérinaire. Le danger des parasites externes réside dans les dommages suivants : - Anémie due à l'absorption du sangTransmission de diverses maladies. - Manque de production ovine suite à la détérioration de leur état de santé. La biosécurité est une approche préventive qui doit avant tout permettre aux éleveurs ovins d'améliorer la maîtrise sanitaire et économique. La biosécurité est l'application de mesures visant à prévenir l'introduction de nouveaux agents pathogènes dans les élevages ovins. Il limite la prévalence et l'expression clinique des maladies déjà présentes dans l'élevage. C'est aussi un outil préventif contre la propagation d'agents pathogènes à d'autres élevages ou à l'homme. Ces mesures doivent être adaptées au contexte épidémiologique local et proportionnées aux risques. Ils doivent également intégrer les enjeux sanitaires et être cohérents avec les pratiques agricoles de l'exploitation

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