Abstract:
Le lait de chèvre est un produit peu consomme en Algérie malgré sa valeur nutritionnelle et son importance comme matière première pour la production de divers produits laitiers le enquête est fait sur trois régions de (Djelfa, Hassi Bahbah et Ain Oussara( de la wilaya de Djelfa . l’enquête est sur la consommation du lait de chèvre et ses dérives par les citoyens ainsi qu’une inquiète sur leur disponibilité dans les grandes surfaces et les magasins traditionnels Ce questionnaire a montré qu'environ 72% des citoyens ne consomment pas du lait et ses dérivés, alors qu'environ 28% le font, mais le pourcentage disponibilité dans les supermarchés est inexistant et très faible dans les magasins traditionnels
Description:
L’enquête que nous avons mené est en deux parties, la première est auprès des habitants des trois régions d'étude à savoir Djelfa, Hassi Bahbah et Ain Oussara de la wilaya de Djelfa. Une deuxième auprès des commerçants de ses régions, nous a permis de caractériser la consommation et la disponibilité du lait caprin et ses dérivés et déduire les obstacles de sa consommation et son développement sur le marché. Les résultats de la première partie d'étude qui s’est déroulé sur une population de (52%) homme et (48%) femme a montré que plus de (72%) des enquêtés ne consomment pas le lait caprin et (28%) le consomment. Pour les trois régions la consommation est faible et approximative (Djelfa 28%, Hassi Bahbah (26%) et Ain Oussara 30%) en comparaison avec la non consommation soit (72%, 74% et 70%) respectivement. D'après l'étude peu sont les enquêtés qui consomment les dérivés du lait avec (14,44%) pour le ben et (9,77%) pour le beurre. Les enquêtés mettent en évidence deux raisons majeurs pour la consommation du lait caprin, soit donner par un proche ou voisin (67%) ou bien produit à la maison (30%). En revanche le revenu mensuel et son prix n’influencent pas sa consommation. La deuxième partie de l'enquête a abouti à l'inexistence du lait caprin et de ses dérivés dans les grandes surfaces en raison de sa non industrialisation. Pour les magasins traditionnels (13%) le propose à une fréquence et quantité d’approvisionnement aléatoire et (20%) le propose occasionnellement sous forme de dérivé en raison de la variation de la collecte et l'absence d'une forte demande
