En vue de l’obtention du Diplôme de Master en biologie

NAAS Fatna Mounira, MAZOUZ Messaouda GUERZOU Zineb

dc.contributor.author	NAAS Fatna Mounira, MAZOUZ Messaouda GUERZOU Zineb
dc.date.accessioned	2022-12-01T08:56:30Z
dc.date.available	2022-12-01T08:56:30Z
dc.date.issued	2022
dc.identifier.uri	http://dspace.univ-djelfa.dz:8080/xmlui/handle/123456789/4420
dc.description	A la lumière de ce travail, réalisé dans la région de Djelfa durant une période 6 mois, visant à l’évaluation du taux d’infestation par les parasites gastro-intestinaux et les ectoparasites chez 150 chats prélevés de trois localités différentes, un taux global considérable que ce soit du parasitisme gastro-intestinal (28.66%), ou celui des ectoparasites (12.66%) a été enregistré dans cette étude. Différentes espèces de protozoaires (Isospora spp.) et helminthes (Toxocara cati, Toxascaris leonina, et Ancylostoma spp.) spécifiques aux chats ont été identifiés avec des prévalences variables. Ces prévalences ont été influencées par les différents facteurs de risque associés aux chats examinés. Les ectoparasites identifiés dans la présente étude ont été représentés seulement par une espèce tique Rhipicephalus Sanguineus, qui est connue infestante pour plusieurs espèces animales. Les résultats obtenus ont montré le risque potentiel des chats comme des hôtes assurant la transmission des agents parasitaires zoonotiques chez l’homme dans la région de Djelfa.	en_EN
dc.description.abstract	La présente étude a été menée pour l’estimation de la prévalence des principaux parasites gastro-intestinaux et ectoparasites infestant les chats de la région de Djelfa durant une période de 6 mois (février à Juin 2022). 150 échantillons de feces ont été prélevés dans trois localités et analysés par un examen microscopique en utilisant deux techniques incluant la flottation et sédimentation. Cette étude a montré une prévalence globale des parasites gastro-intestinaux de 28.66%. Isospora spp. a montré le taux d’infestation le plus élevé (19.33%), suivie par Toxocara cati (4.66%), Toxascaris leonine (2%), et en fin Ancylostoma spp. (0.66%). Le taux d’infestation par les ectoparasites était de 12.66 %. Tous les ectoparasites ont été identifiés comme l’espèce de tique Rhipicephalus Sanguineus. Certains parasites identifiés dans notre étude peuvent avoir un risque zoonotique important chez les personnes qui sont en contact avec les chats dans les différentes localités étudiées	en_EN
dc.language.iso	fr	en_EN
dc.publisher	Université Ziane Achour/Faculté des Sciences de la Nature et de la Vie	en_EN
dc.subject	Chats, endoparasites digestifs, ectoparasites, prévalence, Djelfa	en_EN
dc.title	En vue de l’obtention du Diplôme de Master en biologie	en_EN
dc.title.alternative	Parasitologie	en_EN
dc.type	Thesis	en_EN