الخلاصة:
L’étude est basée sur l’utilisation des engrais chimiques dans l’agriculture afin de fertiliser les sols, les zones potentielles pour réaliser notre expérimentation sont situées dans les deux régions Nord et Sud de la wilaya de Djelfa, respectivement zone1 : Tâadmit et zone 2 : Ain oussera, où les agriculteurs pratiquaient une agriculture difficile peu rentable suite aux facteurs du milieu tels que les conditions climatiques défavorables et édaphiques suite à une pauvreté importante en matière organique. Ces déficits affectent la qualité et la quantité de la production agricole. Cependant la nécessité d’apporter des fertilisants est devenu primordiale, afin de nourrir les sols soumis à l’agriculture. Pour se faire des prélèvements d’échantillons de sol ont été faites dans des terres des particuliers qui pratiquaient des activités agricoles, des échantillons, de sols ont été prélevé pour analyse avec des témoins et des sols incorporés avec quelques engrais chimiques et autres. Les résultats préliminaires ont montré que les sols ayant subi des amendements sont favorisés par les agriculteurs et les végétaux et donnent des rendements meilleurs en produits agricoles
الوصف:
A l’issue de ce travail et à l’image des résultats trouvés il est impératif maintenant de se pencher vers une fertilisation équilibrée afin d’augmenter les rendements en produits agricoles et de nourrir les sols pauvres de notre région. Certes la vocation de la steppe est en général terre de parcours et le sol doit rester sans bouleversement et sans détérioration par les labours et autres techniques de restauration et de réhabilitation. Sauf pour quelques zones comme le cas de Taadmit et Ainoussera et Benahar ont prouvé leur potentialité dans l’agriculture mieux que les autres communes de la wilaya de ce fait il est nécessissaire de recommander aux agriculteurs de ces zones d’apporter des quantités importantes d’engrais chimiques (minérales et organique) mais avec des quantités et des doses bien spécifiques à chaque type de sol et à chaque type d’agriculture.
On s’accorde donc avec la synthèse établie par le bureau nationale d’étude et de développement, qui lui favorise les travaux d’aménagement et de préparation des terres avant chaque culture, d’autant plus que chaque type de culture nécessite un sol particulièrement riche en matière minérale et organique. Car les sols dans notre région sont généralement faibles, pauvres et meubles qui exigent des mesures appropriées, afin de les mettre en évidence pour l’agriculture en intensif ou extensif. Les sols dans ces régions sud de la wilaya ont été classé et préféré pour les cultures fourragères au départ, mais maintenant sont demandé pour toutes formes de culture, (fourragère, céréalière, maraichère et de l’arboriculture fruitière…). De plus sont considérées comme étant les meilleurs parcours naturels. Devant ce paradoxe la prise de décision est alors limitée aux exigence édaphiques, climatiques et la capacité des agriculteurs d’apporter des amendements et des apports en engrais et d’améliorer le système d’irrigation. Le classification et l’aptitude culturales n’est projeté qu’après les aménagements préalables dans les superficies éventuellement mises en culture.