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Contribution à l’étude de biologique et hydrogéologique de la zone humide de zahrez(Djelfa)

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dc.contributor.author GUIRAA Mohamed, GOUGUE Adel
dc.date.accessioned 2023-02-22T08:22:56Z
dc.date.available 2023-02-22T08:22:56Z
dc.date.issued 2019
dc.identifier.uri http://dspace.univ-djelfa.dz:8080/xmlui/handle/123456789/4855
dc.description Localisées à la porte du Sahara au centre des hauts plateaux algérien (w. Djelfa), Zahrez Chergui et de Zahrez Gharbi. Ces deux zones humides possèdent actuellement des ressources hydriques relativement limitées, à savoir uniquement la remontée des eaux souterraines en période pluvieuse. D'ailleurs la région a changé d'étage bioclimatique, du semi-aride dans les années 1930, elle est passée à l'aride au début 21 ème siècle. Au niveau du Zahrez : Les sole entourant le site, peu salés à salés, sont alcalins à structures dégradée, argileux, plus ou moins hydromorphes. Le pH basique est de 8.5 la conductivité moyenne varie entre 0.75 et 8,3 et la composition des sels est souvent dominée par ceux sulfatés et d’autres chlorurés. La salinité très excessive dans les bordures de sebkha (5<CE<20 mmhos/cm), après quelques mètres des écarts sur les transects, nous observons les graduations de salinité diminuent jusqu'à (CE = 0,75 mmhos/cm) et la présentation des individus dans la couverture des végétaux halophiles en général. A l’issue de notre travail, dont on a mis en évidence l’importance des zones humides et leur intérêt dans l’environnement. On a présenté aussi la richesse et la diversité faunistique, floristique et écologique. Les premiers résultats obtenus montrent que la diversité et l'abondance des oiseaux d'eau dépendent largement des fluctuations et de la répartition du niveau de l'eau. Dans ce cadre, la richesse de Zahrez Chergui parait beaucoup plus faible que celle de Zahrez Gharbi. La première zone humide était quasi à sec au moment de l'étude. Dans le cadre de cette étude, le rôle des oiseaux d'eau dans le fonctionnement de ces deux zones humides continentales est établi grâce à l'étude de certaines chaines et réseaux trophiques. La liste exhaustive des espèces aviennes rencontrées au niveau des Zahrez Gharbi et Chergui, ont composé de 31 espèces. Quelques autres espèces fauniques rencontrées au niveau des Zahrez Gharbi et Chergui, ont composé de mammifères, amphibiens, reptiles, invertébrés…etc Des inventaires floristiques complets peuvent être réalisés dans les 4 transects A.B.C.D, Tous les 800 m. Sur ces parcelles, on estime le pourcentage les individus des espèces dominantes et abondantes, et le pourcentage de sol nu. On notera également dans chaque parcelle la présence de certaines espèces remarquables (pas suffisamment abondantes pour figurer parmi les dominantes mais dont la présence est informative, p.ex. petits plants de scirpes ou de roseau, espèces indicatrices de surpâturage, etc.). La liste exhaustive des espèces floristiques rencontrées au niveau des Zahrez Gharbi et Chergui, surtout les espèces localisées dans les bordures de sebkha, ont composé de 43 espèces. en_EN
dc.description.abstract Les zones humides font partie des écosystèmes qui ont besoin d’être gérés de façon à conserver leurs grandes variétés de valeurs et de fonctions. Aujourd’hui, l’Algérie compte 50 zones humides d’importance internationale, inscrites sur la liste de la convention de Ramsar sur la conservation des zones humides d’intérêt international, particulièrement comme habitat des oiseaux d’eau. Notre étude s’intéresse à la biologie et hydrogéologie dans deux zones humides continentales. Localisées à la porte du Sahara au centre des hauts plateaux algérien (w. Djelfa), Zahrez Chergui et de Zahrez Gharbi. Ces deux zones humides possèdent actuellement des ressources hydriques relativement limitées, à savoir uniquement la remontée des eaux souterraines en période pluvieuse. D’ailleurs la région a changé d’étage bioclimatique, du semi-aride dans les années 1930, elle est passée à l’aride au début 21ème siècle. Les premiers résultats obtenus montrent que la diversité et l’abondance floristique et faunique dépendent largement des fluctuations et de la répartition du niveau de l’eau. Dans ce cadre, la richesse de Zahrez Chergui parait beaucoup plus faible que celle de Zahrez Gharbi. La première zone humide était quasi à sec au moment de l’étude. en_EN
dc.language.iso fr en_EN
dc.publisher Université Ziane Achour/Faculté des Sciences de la Nature et de la Vie en_EN
dc.subject Zones humides, Zahrez Gharbi, Zahrez Chergui, oiseaux d’eau, Réseaux trophiques. en_EN
dc.title Contribution à l’étude de biologique et hydrogéologique de la zone humide de zahrez(Djelfa) en_EN
dc.title.alternative Sciences de l'eau et de l'environnement en_EN
dc.type Thesis en_EN


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