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Etude comparative de la biodiversité des Arthropodes en Forêt naturelle et reboisement de Séhary Guebli -Ain Maâbed- (Djelfa).
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Etude comparative de la biodiversité des Arthropodes en Forêt naturelle et reboisement de Séhary Guebli -Ain Maâbed- (Djelfa).
ALILICHE Zadjia, GHADBANI Mokhtara
التاريخ:
2019
الخلاصة:
Dans le cadre de notre étude écologique sur les Arthropodes, réalisée au cour
de l’année 2019, dans la station de la forêts naturelle et reboisement de pin d’Alep
situées dans la région de Djelfa-Ain Maâbed (Sehary Guebli).
La récolté les Arthropodes par les pots barber et pièges à eau, installé à
l’intérieur de forêts nous a permis d’obtenir un total d’individus 3472; répartis en 70
espèces de différents groupes. pour la surface naturelle.
Dans reboisement un total d’individus estimé à1313; répartis en47espèces de
différents groupes.
La diversité est faible dans les deux stations en fonction des plusieurs indices
écologique appliquée, le milieu naturelle présente richesse en espèce conséquente que
le reboisement, considérant le milieu reboisée comme le plus équilibre
الوصف:
La forêt de séhary guebli dans la région de la Djelfa occupe une place
primordiale en surface comme forêt naturelle très riche limitrophe d’une surface
reboisée considérable, il est parmi les reboisements les plus réussis dans la région de
Djelfa. l’étude proposée, pour répertorier l’ensemble des arthropodes présentés dans la
forêt naturelle et reboisée par les Pots Barber, démentre au équilibre écologique dans
les reboisements, par contre dans les forêts naturelles, les espèces invtoriées présentent
le caractère de quantité, et non la qualité de répartition, dont les cause de cette
irrégularité sont multiples les plus importante sont d’ordre biotique et abiotique, dont
l’espèce de Pin d’Alep justifiie la réunion de certain espèce qui sont communes.
Diveres méthodes d’analyses ont être préconisé pour justifier la répartition de
ces espèces. Ainsi que la dominance de certaine que d’autre.
Dans la forêt naturelle on a identifier 70 espèces , répartissent entre 11 ordres ,
et 34 familles, dans le reboisement on compte 47 espèces distribuent entre 08 ordres ,
et 25 famille. Ces résultats met en évidence trois classes ;Arachnide , crustacés ,et les
insecta, dont la dernière est la plus conséquent par le nombre des espèces qu’elle
contient , elle est estimé à 58 espèces engendrant 7 ordres taxonomiques , de même
cette classe des insectes occupe la 1ére place dans le reboisement , avec 38 espèces,
réunissent en 5 ordres.
Dans la classe des insectes, Hymenoptera présentent une richesse spécifique de
14 espèces et un effectif de 3074 individusdans la forêt naturelle. Le reboisement
présente une richesse spécifique de 11 espèces et un effectif de 741 individus. Les
Hymenoptera sont les plus conséquentes et les Formicidae sont les plus riche en
espèces dans les deux stations, et que l’espèce de Componotus erigense une dominance
relative importante dans les deux stations.
La comparaison entre la forêt naturelle et reboisée révèle une différence de la
richesse spécifique et d’effectif des espèces récolteés, dont la forêt naturelle est la plus
riche en espèces que la reboisée.
Les valeurs de l’indice de diversité Shannon-Weaver présentent une faible
diversité qui caractérise les deux stations. Dans station reboisé les espèces sont
équitablement réparties, par contre la forêt naturelle rassemble des espèces qui ne sont
pas équitablement réparties.
On peut noter enfin que la distribution des Arthropode en forêt naturelle et
reboisée présente une irrégularité de répartition dons l’ensemble des espèces se réunies
en fonction des paramètres eu commun, tell que l’espèce arborée, la forme de la lithière,
l’ensoleillement, l’abrie on sans abries, ….ect.
Ces paramètres rentre dans le choix de l’insecte pour sélectionner le milieu de
son installation, et le milieu dégradé et le moins fréquent pour les Arthropodes.
Enfin ce type de travaille serait utile d’être fait parallelement dans d’autres
massifs forestières de Djelfa notamment dans celles de Séhary Dahry, de Senlba
Chergui et de Senalba Gharbi. pour mieux comprendre la diversité de la faune
Arthropodienne dans les zones semi arides
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