Abstract:
La résistance aux antibiotiques est un problème de santé publique mondiale (humaine, animale et environnementale). Elle touche aussi bien les pays à faible revenu et à revenu intermédiaire que les pays plus développés. L’objectif de ce travail était l’étude de la sensibilité aux antibiotiques des souches isolées du Zoo de lion d’atlas. Vu la pandémie du corona virus nous somme limité à une étude théorique de ce thème. Pour cela nous avons cité des généralités sur certains animaux du zoo, sur les souches d’E. coli , les antibiotique et la résistance aux antibiotiques. Nous avons cité aussi les différentes méthodes permettant l’étude de la sensibilité aux antibiotiques ainsi les résultats obtenus dans différents pays dans le monde. D’après de travail, on conclu que les animaux du Zoo peuvent être des souches de souches pathogène et résistantes aux antibiotiques.
Description:
La relation proportionnelle entre l’utilisation des antibiotiques et l’augmentation des résistances bactériennes est un problème mondial de la santé publique (Armand et al., 2017).
Afin de contrôler la résistance acquise aux antibiotiques, l’impacte de toutes leurs
utilisations doit être pris en compte, et la coopération et la solidarité pour marcher sur une voie claire que ce soit au niveau national ou international. La réduction de l’utilisation des antibiotiques chez les animaux passe par l’arrêt de leur utilisation comme facteurs de croissance, en tenant compte des raisons de leur prescription et de l’exactitude du diagnostic avant cela. L’utilisation responsable des antibiotiques est très importante pour maintenir la confiance des consommateurs. La maîtrise de l’utilisation des antibiotiques nous permet d’en
disposer d’un approvisionnement efficace (Sandrers, 2005).
Les éleveurs doivent être formés et informés du problème de la résistance aux
antibiotiques et des conséquences de la mauvaise utilisation ou de la surutilisation des antibiotiques par la communication, la formation et l’éducation de tous les patriciens sur le terrain, le respect de la prescription en termes de dosage, la durée du traitement et le suivi de leur utilisation (Sandrers, 2005).
L’accent doit être mis sur la compréhension et le suivi approfondi du phénomène de l'antibiorésistance et des mécanismes de sa propagation dans l’environnement dans son étude en raison du manque de nouvelles découvertes en médecine vétérinaire et de la sensibilisation
du public à son danger. Aussi il doit également améliorer l’utilisation des antibiotiques, réduire la pression de sélection et le risque de propagation de la résistance acquise en
application rigoureuse de mesures zootechniques et hygiéniques permet également d’assurer une meilleure santé des animaux et par conséquent une moindre l'utilisation des antibiotiques et en adoptant de nouveaux textes législatifs, en développant des appropriées et en établissant des réseaux de contrôle de la résistance dans des différents pays (Sandrers, 2005).