قلعة جبل سلات ببوسعادة- دراسة اثرية فنية-

Abstract

Résumé :

Le sujet du mémorandum est lié à l'un des bâtiments les plus importants qui se sont développés à travers les âges, à savoir l'architecture militaire, qui exprime une partie importante du patrimoine artistique et culturel de toutes les nations, car le développement de cette architecture est considéré comme un progrès civilisé et une mesure du développement des peuples. Cette architecture a connu une grande diffusion depuis l'Antiquité, dans le but de l'autorité serrée et du désir de stabilité de former des structures à la fois de types urbains et humains, et cela afin de prouver l'existence et de délimiter les frontières et d'assurer la défense de la fièvre de tout ennemi redoutable. . Le Maghreb central est connu depuis l'Antiquité comme un théâtre de conflit dont le but est d'étendre l'influence et le contrôle, et ce conflit a migré vers la région de Messila en tant que zone de contact et de friction. Ces conflits se sont accompagnés de l'émergence d'installations architecturales datant de différentes époques, qui sont restées visibles Aux yeux, et la Citadelle du Mont Salat est l'une des installations qui n'a pas obtenu son droit d'étude. En parcourant les recherches qui y ont été menées, on constate qu'elle se limite à raconter certains événements historiques, sans aborder la partie la plus importante de celle-ci, qui est la partie architecturale, qui est quasi inexistante dans les sources et les références. Le but de cette étude est de présenter le château, qui est resté un mystère pour les savants et les chercheurs, ainsi que le stand caché pour découvrir ce château, qui est resté debout face à tous les facteurs naturels et humains À la lumière de ce qui précède, nous avons tenté de combler les lacunes, même dans une faible mesure, afin de les définir, de supprimer la confusion et le déguisement et de lever l'ambiguïté qui les entoure. D'autres raisons de choisir ce sujet étaient les suivantes: Premièrement: le manque d'études académiques sur cette architecture, qui m'a poussé à essayer de l'éclairer et de l'introduire dans les milieux spécialisés dans l'étude de l'architecture islamique, qu'ils soient archéologues, architectes ou sociologues. Deuxièmement: ce sont des monuments archéologiques qui souffrent d'une grande négligence car ce sont des monuments qui ont perdu leur fonction, malgré l'attention récente de certaines autorités compétentes. Troisièmement: être un fils de la région m'a rapproché de cette architecture, et m'a peut-être donné l'opportunité de la comprendre, de l'étudier et de l'analyser. C'est pour toutes ces raisons qui déterminent mon choix de ce sujet, dans ma tentative d'ajouter un nouvel ajout à l'équilibre de l'architecture en Algérie. Ma recherche s'est basée sur un ensemble de questions qui constituent dans leur intégralité le problème de la recherche, et ces questions sont les suivantes: Premièrement: quelle est cette architecture et quelle est sa nature? Deuxièmement: quelles sont leurs caractéristiques et comment elles ont été formées, et quels sont les facteurs internes et externes qui ont formulé ces caractéristiques et les ont mises en évidence dans cette image. Troisièmement: à quelle période cette architecture peut-elle être attribuée et à quel style d'architecture peut-elle être classée. Quatrièmement: vous êtes-vous soumis au modèle de planification des installations militaires? Et ses avantages? Ou a pris son propre modèle J'ai essayé de répondre à ces questions par une introduction et trois chapitres. Dans le premier chapitre, j'ai suivi une approche historique et théorique qui s'appuie sur les textes et stabilise la localisation et l'impact. Dans les deux chapitres restants, j'ai suivi une approche appliquée basée sur la description d'abord, puis l'analyse ensuite. Le premier chapitre était consacré au cadre historique de la région, de sorte que la discussion portait sur l'histoire de la région et la discussion sur les différentes civilisations humaines qui ont réussi dans la région, ainsi que sur la problématique Dénomination et fondation, en plus de définir l'architecture militaire ainsi que l'emplacement du château, et les périodes les plus importantes La période historique de la période préhistorique à la fin des périodes islamique et ottomane et jusqu'à la période coloniale. Le deuxième chapitre traite de l'étude descriptive du château, où l'emplacement du château a été défini, une description générale du château, ainsi qu'une description des vestiges architecturaux du château, tels que les vestiges des fondations des murs, certaines pièces et réservoirs d'eau, les pièces de poterie trouvées et deux pièces de monnaie. Dans le troisième chapitre, la discussion portait sur l'étude analytique en termes de plan, les éléments architecturaux, les matériaux et techniques de construction, avec des comparaisons du plan général du château avec le reste des châteaux, et enfin une conclusion j'ai déposé un résumé et une conclusion de cette étude. Le navigateur pour les études archéologiques du château n'a pas obtenu son droit d'études et d'analyses, et après avoir regardé une collection de livres et de documents au musée de Bou Saada, les études étaient rares sinon Rare transfert seulement quelques sources historiques qui y faisaient référence, ou certains militaires français Ceux qui l'ont étudié sous le nom de Stifeng Ghazal. Quant à ce qui a été récemment discuté par le Dr Suad Soleimani dans sa thèse sur les anciennes installations d'irrigation dans la région de Haddah, où elle a étudié les méthodes d'approvisionnement en eau du château, ainsi que les réservoirs On peut dire que celui qui interfère avec l'étude de l'histoire du château est confronté à un problème fondamental représenté dans les sources dont il peut tirer son matériel, et ma confiance en ce qui concerne l'aspect historique du mémorandum reposait sur certaines sources historiques, notamment Sanhaji (Abu Abdullah Muhammad), les nouvelles des rois de Bani Ubaid et leur biographie, ainsi que Ibn Khaldun (Abd al-Rahman), le livre de l'histoire d'Ibn Khaldun appelé al-Abr, le divan du débutant et des nouvelles, qui faisait référence au château et à certaines tribus qui se sont installées dans le château. Les Européens à propos du château et quelques orientalistes français qui ont étudié le château, tels que: (Payen) et (J.Tixier), et (gsell.st) qui sont venus avec une description simple de l'emplacement du château et de ses vestiges architecturaux. Tout comme un travail n'est guère sans difficultés, j'ai rencontré un certain nombre d'obstacles au cours de mon étude de ce sujet, dont le plus important était peut-être l'absence de références de la bibliothèque liées au sujet. La note, les références qui traitaient de l'architecture dans la région se sont concentrées sur les aspects historiques uniquement sous l'angle des historiens, sans aborder les aspects architecturaux et archéologiques et la difficulté d'obtenir des nouvelles et du matériel académique sur le château. L'un des obstacles les plus importants à mon cheminement dans l'étude de ce style d'architecture islamique est la question de l'histoire, car la construction dans ces zones a négligé d'enregistrer les dates de fondation dans le monument lui-même. Comme ce fut le cas dans l'architecture islamique laissée par les pays médiévaux du nord du pays La rareté des sources historiques, comme je l'ai mentionné précédemment, ainsi que la difficulté de l'étude de terrain que nous avons menée, et cela est dû à la difficulté du lieu dans lequel se trouve le château, son isolement et son relief accidenté, pourtant plusieurs tentatives ont été faites à la lumière de l'étude descriptive et analytique des formes et éléments architecturaux pour mettre quelques hypothèses, qui seront décidées. Si à l'avenir recourir à l'adoption de l'archéologie historique et à l'utilisation de certaines méthodes d'historiographie.