Etude Dendrométrique et Floristique Dans La Forêt Naturelle A pin D’Alep de Djellal Chergui «Wilaya de Djelfa

Belkheiri Noura, Zerrouki Djinane

Etude Dendrométrique et Floristique Dans La Forêt Naturelle A pin D’Alep de Djellal Chergui «Wilaya de Djelfa

Belkheiri Noura, Zerrouki Djinane

URI: http://dspace.univ-djelfa.dz:8080/xmlui/handle/123456789/4786

Date: 2018

Abstract:

Le présent travail port sur l'étude dendrométrique et floristique de la foret naturelles de Djellal Chergui commune de Moudjbara (Wilaya de Djelfa), située sur l'étage bioclimatique semi aride. L'étude consiste à établir des transect suivant l'exposition (Nord/Sud) l'installation de 07 placette d'échantillonnage nous avions permis de déterminer les différents paramètres dendrométrique de la densité, des hauteurs, de la circonférence, la surface terrière et le volume. Donc ont a recherchées les éventuelles corrélations entre ces paramètres. L’étude quantitative et qualitative de la végétation menée sur la formation de (Pinus halepensis Mill à travers 10 relèves floristiques. Les différents résultats nous avions montré que cette partie de la foret est en état de dégradation

Description:

L’approche de l'étude de la dendrométrie et floristique des forêts s’avère une étape importante pour une meilleure prise en charge les milieux forestiers. La présente étude propose de faire l’accent sur deux points essentiels: Le premier point consiste à étudier, dans la versant Nord de l’Djellal Chergui, dans une formation à pin d’Alep (Pinus halepensis Mill.) des paramètres dendrométriques tel que la hauteur moyenne, la hauteur dominante, la circonférence, la densité, la surface terrière et le volume en adoptant une approche classique et couramment utilisée dans ce type de foret; les résultats relatifs de cet étude ont été comme suit : La hauteur moyenne varie entre 7.08 et 12.9 m avec une moyenne de 10.39 m . Alorque la hauteur dominante varie entre 9 et 15m avec une moyenne de 12.14 m La circonférence à 1.30m des arbres varie de 45.98 à 91.56, Le volume de bois sur pieds varie de 0.5 à 4.28m3/ha. La surface terrière varie de 2.7 à 14.98 m2/ha et la densité varie de 37.5 à 62.5 pied/ha avec une moyenne de 55 pied/ha. La corrélation linière a été significative entre le volume et la surface terrière, moyennement significative entre la hauteur moyenne et la circonférence. Le deuxième point porte sur une évaluation quantitative et qualitative à travers l’échantillonnage subjectif dans le même formation à pin d’Alep . Cet étude floristique dans ce versant Nord nous a montré de point de vue qualitatif que le nombre d’espèce au total est de 32 espèces appartenant à 13 familles divisées en 10 plantes pérennes ou (vivaces) et 22 éphémères ou (annuelle). Les principales familles représentées dans l'ordre de dominance sont Astéracée, Poaceae, Caryophyllacée; allors que, les familles qui ont une seule espèce sont, Cupressaceae, Liliaceae, Resaceae, Borgenaceae, Brassicaceae, crucifere,et Dipricaceae. Les types biologiques les plus dominats sont les Thérophytes, les Chamephytes et les Hémicryptophytes Tandisque l’étude quantitative nous a donné les résultats suivants: le recouvrement linéaire (FSi) des éléments non végétatifs (sol nu, roches, cailloux, pellicules de glaçage et les débris d’animaux) plus les débris des végétaux et les touffes d’alfa mortes sont plus grands que des éléments végétatifs, en enregistrant une fréquence spécifique d’ordre de 58,25%. Le grand recouvrement a été chez Stipa tenacessima avec 23.17%. et la densité la plus grande aussi a été chez Stipa tenacessima avec 3975touffe/ha En conclusion, les résultats qui découlent de notre étude permettent d’avoir des implications pratiques utiles dans une optique de contribuer à la reconnaissance de la foret de pin d’Alep et l’état de dégradation qui touche cette foret. Pour ces raisons, une attention particulière a été portée en matière de protection et restructuration de ces forets et cela à travers une politique forestière visant la mise en valeur intensive des forêts définit par un programme d'aménagement qui s'appuie à ce jour sur des méthodes classiques n'arrive pas jusqu'à présent à suivre la cadence du phénomène de la dégradation de notre forêt

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